AMO  a été composé à partir de 1985 par William Théaux, psychiatre psychanalyste à Lyon. D'abord par une égalisation AM (Akhnaton-Moïse ; post-Sigmund Freud) irrésolue jusqu'à l'ajout de AMO (Akhnaton-Moïse-Oedipe ; post-Immanuel Velikovsky). De concert avec deux vérifications/confirmations par l'égyptologie (Ahmed Osman) et par l'histoire de la Renaissance (par Frances Yates) quelques conférences ont été donnée en 1991 à Lyon et diffusées par cassettes VHS aux sociétés psychanalytiques parisiennes.

A partir de 1995 et depuis la thèse AMO/Triplex a été intégralement et en permanence livrée sur le WWW, en français et en anglais ; sans aucun écho mais avec quelques associations toujours terminées en trahisons. D'abord aux USA puis de retour en France à partir de 2000 où un colloque a eu lieu en 2006, avec le bon souvenir de Daniel Kolos et Hal von Hofe - elle a ensuite été proposée sur le réseau social FaceBook.
C'est aussi à partir de 2000 qu'une page est apparue d'origine et d'auteur inconnus sur le WWW, exposant la thèse AMO, intégralement et bien résumée et nommant son auteur. On peut estimer que durant 20ans il n'y eu aucun contact, aucune question, pas un mot adressé à W.Théaux sur ce sujet facilement accessible sur le web & Google.
A partir de la période FaceBook, on a observé que ce degré zéro de la communication a persisté.

En 2008 s'est tenu à Carthage/Tunisie un congrès, publié en 2015 ibid avec une intervention de deux psychiatres psychanalystes lyonnais, des hôpitaux psychiatriques et Universités, honoraires et Professeurs émérites, déclinant la thèse AMO, intégralement et bien résumée, citant la source Théaux, sans aucun titre ni ne lui attribuant effectivement la thèse, et toujours sans que personne n'ai jamais pris le moindre contact.

En janvier 2018, Patrice Hernu a tenu une conférence à Paris dont il n'existe pas d'enregistrement connu/déclaré, soutenant l'équation AM qu'il avait par ses recherches personnelles, indépendamment écrite. Ce moment a donné lieu à une seconde avancée que l'UCMPP de Théaux développe, qui complète la partie machiste/complexe de l'identification d'Akhnaton, avec la partie féminine assumée par l'identification de Néfertiti. Elle a été exposée en février 2018, selon la vidéo 20180206_Nefertiti-Helene_parEuripide.

La récente sortie d'archive de la conférence de 1991 a été témoin de l'énorme faiblesse nerveuse et des difficultés de l'auditoire à suivre un exposé un peu dense. Des troubles de l'attention et de l'humeur sont indiqués, d'apparition rapide. Les universitaires sont inexistants. De ce point de vue de l'intelligibilité, la Nefertiti-2018 est scandaleuse au regard des aptitudes de réception, mais ne cède pas à l'exigence, fut-elle adressée à l'IA. Peut-être faut-il un ou deux ans d'études - et trente ans pour les professeurs - pour arriver à constater son étayage et la haute probabilité de sa déduction. Elle n'oppose pas la moindre objection au fait que des hébreux ont pu migrer d'Égypte en Israël. Elle indique l'importance qu'il y ait eu des traversées aussi vers Athènes.